Trump et Vance "admettant" que l'enquête criminelle sur Bolton provient de la Maison Blanche n'est pas une erreur. Ils veulent que les critiques comprennent que s'ils s'opposent à Trump, ils peuvent être soumis à une enquête criminelle. Ils veulent que les gens sachent que l'application de la loi a été politisée.

La maison de Bolton a été perquisitionnée, le général Kruse a été renvoyé, le camouflage d'Epstein se poursuit, la saisie de 10 % d'Intel est une autre étape vers le capitalisme d'État. Un jour dans la marche quelque peu chaotique mais déterminée vers… le despotisme. Et quelqu'un pense-t-il qu'ils font tout cela pour pouvoir céder le pouvoir en 2028 ?

Peut-être que c'est mon néocon intérieur -- mais j'admets que je trouve le discours optimiste des libéraux plus agaçant qu'inspirant. Trump franchit un tas de lignes rouges dont on m'avait assuré qu'elles tiendraient. Les politiciens démocrates se précipitent pour nous convaincre que "nous gagnons" et que le dernier mouvement autoritaire de Trump est "un signe de désespoir."

Si ICE a l'air fasciste, se présente comme des fascistes et se comporte comme des fascistes, alors c'est probablement un fasciste.

« Ils ont mis le nom de Trump sur les camions. C'est le signal le plus clair que l'ICE est destiné à être une force de police personnelle et partisane qui existe à la disposition de Trump. Ce n'est pas un choix que quelqu'un fait s'il a l'intention de quitter ses fonctions dans trois ans. »

« Jusqu'à fin juin, selon le Cato Institute, 65 % des plus de 200 000 personnes arrêtées par l'ICE depuis octobre 2024, le début de l'exercice fiscal actuel, n'avaient aucun antécédent criminel, et la plupart de celles qui en avaient étaient pour des infractions mineures. »

On peut dire cela des dictateurs en herbe et de leurs acolytes : ils avancent pas à pas, indifférents aux revers, imperturbables face à l'embarras, tandis que mes camarades libéraux passent plus de temps qu'ils ne le devraient à faire la morale plutôt qu'à se battre et à trouver des aspects positifs dans les nuages sombres.

À tous ceux qui se livrent à des commentaires volontairement obtus, « il faut admettre que Trump a raison, la criminalité à DC est un problème » concernant la prise de pouvoir de Trump. Trump se moque éperdument de la criminalité à DC. Ce qui intéresse Trump, c'est d'établir un précédent pour aider sa consolidation du pouvoir.

Trump : « Je vais regarder New York dans un petit moment... Si nous en avons besoin, nous ferons la même chose à Chicago. » Trump a également mentionné Baltimore et Oakland. Trump prépare le terrain pour essayer de prendre le contrôle de la police, dans les mois et les années à venir, dans les villes démocrates des États démocrates.

Soyons clairs, voici la situation à laquelle nous faisons face : "Un gouvernement fédéral autoritaire en devenir prend le contrôle de la force policière dans la capitale du pays."