Certains disent que Qubic doit miner Monero pour rester rentable. D'autres pensent que l'Utilité de Preuve de Travail (uPoW) n'est qu'un gadget pour vendre de la puissance de calcul. Mais la vérité est bien plus simple et stratégique. Monero est un banc d'essai. Un moyen pratique de prouver que Qubic peut externaliser son calcul inactif - le calcul dont son IA interne, AIGarth, n'a pas actuellement besoin. Pourquoi Monero $XMR ? Parce que c'est l'une des rares cryptomonnaies encore optimisées pour le minage CPU. Elle est éprouvée, largement adoptée et s'aligne parfaitement avec l'architecture de Qubic, qui privilégie les CPU comme colonne vertébrale de son système uPoW. Si Qubic peut miner Monero, cela prouve qu'il peut prêter sa puissance à presque n'importe quel projet ayant besoin de véritable puissance de calcul. Il ne s'agit pas de gagner de l'argent rapidement. Il s'agit de prouver des capacités, de montrer sa force technique et de poser les bases de ce qui vient ensuite dans le calcul décentralisé. Alors, pourquoi vendre une partie de cette puissance ? Parce que tout le monde n'a pas l'infrastructure que Qubic possède. Lors d'une récente conférence sur l'IA à Singapour, plusieurs universités de premier plan ont exprimé un intérêt sérieux à s'associer avec Qubic. Ces institutions ont du talent, mais manquent de l'infrastructure nécessaire pour exécuter des charges de travail IA sérieuses. Aujourd'hui, AIGarth n'a pas besoin de chaque once de calcul que Qubic a à offrir. Donc, au lieu de rester inactif, le réseau mine Monero, maintenant le système actif, décentralisé et aligné avec le mécanisme de brûlage intégré de QUBIC. À mesure que $QUBIC prend de la valeur, de plus en plus de puissance de calcul rejoindra le réseau. Finalement, cette croissance dépassera ce dont l'écosystème a besoin à tout moment donné. Quand cela se produira, QUBIC pourra monétiser le surplus de manière plus intelligente et plus ciblée. QUBIC n'est pas là pour perturber juste pour le plaisir. Il est là pour montrer ce qui est possible lorsque le calcul sous-utilisé rencontre une demande réelle.