Malgré les affirmations de la Maison Blanche et du Pentagone depuis des mois selon lesquelles aucun matériel classifié n'a été partagé lors de la fuite « Signalgate » impliquant le secrétaire à la Défense Pete Hegseth en mars, le Washington Post rapporte maintenant que l'Inspecteur général du Pentagone a reçu des preuves au cours de l'enquête en cours indiquant que des messages envoyés via Signal par le secrétaire à la Défense Pete Hegseth, qui détaillaient des plans pour une campagne de bombardement américaine contre les Houthis soutenus par l'Iran au Yémen, provenaient d'un e-mail classifié étiqueté « SECRET/NOFORN » envoyé par le Commandant du Commandement central des États-Unis (CENTCOM), le général Michael E. Kurilla, au secrétaire Hegseth via un réseau informatique classifié fermé utilisé par le Département de la Défense connu sous le nom de SIPRNet.