Aujourd'hui, nous apprenons que tandis qu'Hillary a payé Steele pour trouver, ou du moins fabriquer, des informations "dérogatoires" sur Trump, Poutine possédait en réalité des informations "dérogatoires remarquables" sur Hillary, telles que des "rapports sur la santé de Clinton", qu'il a refusé de publier avant l'élection.
Le SVR/Putin savait également qu'Hillary souffrait de "diabète de type 2, de maladie cardiaque ischémique, de thrombose veineuse profonde et de BPCO."
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