Mon problème avec Mamdani concerne entièrement la police. Tout le reste n'est que des distractions, car une ville vit ou meurt par son ordre public. En tant qu'homme riche ayant vécu en Ouganda, une grande partie de sa vie a été consacrée à être protégé, enfermé et éloigné du tumulte des masses qu'il romantise. Que ce soit en étant transporté dans des 4x4, en vivant derrière des portes, ou en ayant une multitude de serviteurs. J'ai marché de cette colline jusqu'à l'eau, à quatre miles de distance, et laissez-moi vous dire que ce qui entoure ces riches complexes fermés est une pauvreté qui devrait radicaliser quiconque - mais avec l'espoir d'une certaine prise de conscience, y compris de combien les États-Unis sont bien meilleurs.