JD a raison. Le levier que les États-Unis ont exercé sur l'Europe dans cet accord commercial peut être résumé en trois points clés : 1. Trump. Envoyer Ursula « négocier » avec Trump, c'est comme un match de MMA entre Jon Jones et Sabrina Carpenter. Vous pouvez l'envoyer accepter son accord, mais pas grand-chose d'autre. C'est ce qui a été perçu. 2. Impossible d'avoir un BATNA avec 27 pays aussi variés que l'UE. Vous entrez dans la négociation handicapé. Le résultat s'est écrit de lui-même. 3. Dépendance énergétique. L'Europe a signalé sa vertu au détriment de son indépendance énergétique au cours de la dernière décennie. Cela sera écrit comme l'un des pires « propres buts » socio-économiques de l'histoire. Ils n'avaient pas d'autre choix que d'accepter ce qui était proposé. C'était une victoire catégorique pour le président Trump et les États-Unis et cela devrait susciter un profond moment de réflexion en Europe.