Le fait est que qui les employeurs sont _autorisés_ à licencier, qui ils _doivent_ licencier et qui ne doit _pas_ être licencié est totalement dépourvu de principes dans un sens conventionnel de ce terme. Empiriquement, c'est une question de pur pouvoir par des groupes d'intérêt et le sentiment public, et à travers ces choses sur les lois imposées aux entreprises, et sur les responsabilités générées ; et donc directement, une question des coûts encourus par les entreprises à travers ces avenues et d'autres lorsqu'elles se retrouvent à employer une personne donnée. Les personnes qui s'identifient comme "communistes" et "fascistes" sont toutes deux incroyablement fatigantes, mais dans le monde actuel, les communistes sont politiquement assez puissants pour vivre ouvertement et imposer des coûts aux entreprises qui emploient des fascistes, et les fascistes ne sont pas assez puissants pour répondre en retour. Il n'y a aucun moyen de considérer cela comme juste. La question est, qui doit être le maître--c'est tout. On pourrait s'attendre à ce qu'un fasciste auto-identifié comprenne cela.